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Le service d’interprétariat « se comprendre » a déjà un long chemin derrière lui. Selon mes recherches, Caritas Suisse aurait créé un premier service d’interprétariat en 1997, Caritas Jura en 2001 et « se comprendre » existe sous sa forme actuelle depuis 2007. Pour une mise en perspective au niveau des chiffres, on enregistrait 4'678 heures d’intervention sur l’année 2011. Les principales langues sollicitées étaient alors le tigrigna, le portugais, le somalien, le...

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Face à l’afflux de réfugiés ukrainiens, le service « se comprendre » a engagé près d’une vingtaine d’interprètes en quelques semaines.

« Dès début mars, nous avons commencé à poster des annonces », explique Séda Sargsyan, chargée du recrutement au service d’interprétariat « se comprendre ». Fin mars, un mois après le début de l’offensive russe en Ukraine, 10'000 réfugiés ukrainiens étaient déjà en Suisse.

18 interprètes engagés

« En trois...

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- L'invitée: Anne Kristol, responsable du service d'interprétariat "se comprendre"
- 6 questions à une interprète: Merita Jasaroska, interprète pour le macédonien et l'albanais
- "Nous avons tenu le choc" (page 3)

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Face à l’urgence et à la pénurie d’interprètes ukrainiens professionnels en Suisse, INTERPRET rappelle aux autorités et œuvres d’entraide la nécessité de distinguer clairement les tâches réalisées par/avec des bénévoles de celles nécessitant les compétences d’interprètes professionnels.

Prise de position

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